nostalgie de l'innocence
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nostalgie de l'innocence
On a le cœur qui pleure,
On a le cœur qui saigne ,
on a le cœur en larme ,
On a le cœur qui meurt ,
sous les multiples beignes
de ces blessantes lames
de fond qui vous renversent
comme de ivres badaud
qui voguent et qui traversent
la vie de leurs sanglots
On a le cœur coulé
à porter sur nos dos
les si lourds boulets
de l'innocence qui prends l'eau ...
Je me souviens du temps
béni de nos enfances
où l'on courait joyeux
inconscient des souffrances ,
me rappelle les instants
exempt de tout problème
de nos sourire heureux
de nos parents que l'on aime
me remémore l'avant
des noëls radieux
des sapins scintillant
brillant de milles feux ,
des croyances puérils
des dents sous l'oreiller
de ses secondes fragiles
que l' age fait dérailler
Comme je pleure l'insouciance
de mes premières années
comme je regrette les sciences
dont on m'' a tant tanné
assassinant magie
et les contes de fées
mille et une nuit ternies
par le savant qui défait
le génie qui agit
pour ouvrir ces âmes
aux merveilles bénis
que protège sésame
J'ai le cœur qui pleure
j'ai le cœur qui saigne
oui j'ai le cœur en larme
j'ai le cœur qui se meurt
sous les multiples beignes
de cette terrible lame
qui vient rompre le charme
des merveilleuses histoires
que cette douce femme
me racontait le soir.
On a le cœur qui saigne ,
on a le cœur en larme ,
On a le cœur qui meurt ,
sous les multiples beignes
de ces blessantes lames
de fond qui vous renversent
comme de ivres badaud
qui voguent et qui traversent
la vie de leurs sanglots
On a le cœur coulé
à porter sur nos dos
les si lourds boulets
de l'innocence qui prends l'eau ...
Je me souviens du temps
béni de nos enfances
où l'on courait joyeux
inconscient des souffrances ,
me rappelle les instants
exempt de tout problème
de nos sourire heureux
de nos parents que l'on aime
me remémore l'avant
des noëls radieux
des sapins scintillant
brillant de milles feux ,
des croyances puérils
des dents sous l'oreiller
de ses secondes fragiles
que l' age fait dérailler
Comme je pleure l'insouciance
de mes premières années
comme je regrette les sciences
dont on m'' a tant tanné
assassinant magie
et les contes de fées
mille et une nuit ternies
par le savant qui défait
le génie qui agit
pour ouvrir ces âmes
aux merveilles bénis
que protège sésame
J'ai le cœur qui pleure
j'ai le cœur qui saigne
oui j'ai le cœur en larme
j'ai le cœur qui se meurt
sous les multiples beignes
de cette terrible lame
qui vient rompre le charme
des merveilleuses histoires
que cette douce femme
me racontait le soir.
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