Nous en mieux
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Nous en mieux
Ma chère amie, mon cher amour,
je vous envoie cette petite lettre
pour vous raconter tous ces jours
qui me separent de votre être
vous dire que le temps parait si long
depuis notre au revoir
depuis que j'ai vu votre avion
quitter l'aérogare
Je veux vous écrire ma rengaine
cette routine qui me lasse
comme si je travaillait à la chaine
chacune des semaines qui passent
Loin de vous ,loin de vos yeux
seul avec le souvenir envieux
de nos moments tellement heureux
de nous à deux, de nous en mieux
Hier je suis retourné
Au lieu de notre premier baiser
mais pour tout vous avouer
sans vous c'était tellement hideux
Sa ressemblait à un hiver
Toutes les fleurs étaient fanées
le froid traversait ma polaire
les arbres étaient dénudés
Rien comparé à ce printemps
où main dans la main nous marchions
sous les feuilles remplient des chants
d'oiseau que nous écoutions
c'était des moments si plaisants
de ceux qui durent éternellement
Et pourtant après un an
je crois qu'ils s'envolent aux vents
J'ai hâte de vous retrouver
de revoir votre visage
de remplir les blancs de l'été
de voir se rejoindre nos rivages
j'ai hâte de voir sur la piste
l'avion se poser
et s'effacer les heures tristes
quand au centre de l'aérogare, je vous embrasserai
Et si proche de vous et de vos yeux
oubliant les souvenirs envieux
puisque le présent sera heureux
de revoir enfin , le nous en mieux
Langelin
je vous envoie cette petite lettre
pour vous raconter tous ces jours
qui me separent de votre être
vous dire que le temps parait si long
depuis notre au revoir
depuis que j'ai vu votre avion
quitter l'aérogare
Je veux vous écrire ma rengaine
cette routine qui me lasse
comme si je travaillait à la chaine
chacune des semaines qui passent
Loin de vous ,loin de vos yeux
seul avec le souvenir envieux
de nos moments tellement heureux
de nous à deux, de nous en mieux
Hier je suis retourné
Au lieu de notre premier baiser
mais pour tout vous avouer
sans vous c'était tellement hideux
Sa ressemblait à un hiver
Toutes les fleurs étaient fanées
le froid traversait ma polaire
les arbres étaient dénudés
Rien comparé à ce printemps
où main dans la main nous marchions
sous les feuilles remplient des chants
d'oiseau que nous écoutions
c'était des moments si plaisants
de ceux qui durent éternellement
Et pourtant après un an
je crois qu'ils s'envolent aux vents
J'ai hâte de vous retrouver
de revoir votre visage
de remplir les blancs de l'été
de voir se rejoindre nos rivages
j'ai hâte de voir sur la piste
l'avion se poser
et s'effacer les heures tristes
quand au centre de l'aérogare, je vous embrasserai
Et si proche de vous et de vos yeux
oubliant les souvenirs envieux
puisque le présent sera heureux
de revoir enfin , le nous en mieux
Langelin
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